🎄PAUSE DES FÊTES | Dimanche 22 décembre au 13 janvier inclusivement | Veuillez noter que la boutique sera fermée ☃️
mai 27, 2021
La gravelle à Montréal, nulle part et partout à la fois ! Toi, apprenti graveleur ou graveleuse urbain.e, savais-tu que la désignation « Gravel bike » suscitait parfois la controverse ? Pour certains, ce serait un complot de l’Industrie pour vendre + de bikes. Moi ? Je préfère rouler plutôt que me casser la tête. Mais ces commentateurs-là, ils amènent quand même quelque chose d’intéressant : alternativement au vélo de gravelle, au vélo d’aventure, il y en a qui ont plutôt proposé d’appeler ce qu’on fait de la roulade « sur surface mixte ».
Pis, en pensant à la chose comme ça, Montréal peut être envisagée comme un gros terrain de jeu franchement plus attrayant ! Si tu cherches des longs rangs de gravelle, va falloir que tu t’éloignes un peu du centre. Mais si t’es prêt à t’adonner au jeu des combinaisons créatives, y’a du beau fun à avoir. Parce que c’est aussi ça, la gravelle urbaine à Montréal : *ça se raboute bien !*
Voici donc deux idées de sortie dans ce vaste créneau là. Des classiques locaux, idéaux pour s’initier à la gravelle urbaine, et directement accessibles à partir du centre. Mais surtout, je t’invite à les considérer comme des « hubs » autour desquels tu peux essayer des variantes, relayer, ajouter des bouttes — à ta guise, selon si t’es plutôt du type rouleur infatigable, plutôt du type mountain bikeur refoulé, ou encore si t’es un néophyte heureux.
Sur les pistes du Bois-de-Liesse
Allégresse au Bois-de-Liesse (environ 45km aller-retour). Explore un vaste boisé sablonneux, aux multiples sentiers louvoyants, avec accès au bord de l’eau dans le secteur de la Péninsule. Comment s’y rendre ? Tricote tranquille jusqu’au boul. Gouin, que tu prends vers l’ouest pour une quinzaine de kilomètres. Reste à l’affût pour les pistes qui y sont parallèles et qui traversent les petits parcs ou longent la rivière. Une fois sur place, y’a des super spots pour piqueniquer ou amener ta tendre moitié. Du côté Sunnybrooke, le Bois-de-Liesse débouche aussi sur la très roulante piste de Salaberry, bordée de gravelle et qui t’enligne sur le Cap St-Jacques : à voir quand tu seras prêt à te lancer dans des aventures plus ambitieuses ! Tu te rajoutes de longs kilomètres, mais par-là tu accèdes aussi à une nature / gravelle d’autant plus sauvage, en + de la fameuse plage :)
Plein les yeux, au bord de l’eau
La TransTerrebonne te transforme (environ 70km aller-retour). Un système de pistes et de sentiers sinueux et généreusement vallonneux, principalement sur terre battue — absolument enivrant ! Comment s’y rendre ? Les plus aventuriers passeront par les sentiers du parc du Ruisseau-de-Montigny pour atteindre le pont de l’A25. Pis, après avoir traversé Laval, l’entrée de la TransTerrebonne se trouve à quelques bornes du charmant Vieux-Terrebonne. Que ce soit dans un sens ou dans l’autre, pour traverser l’île de Laval, tu peux choisir de t’enfoncer dans les terres agricoles pour emprunter les chemins de ferme qui la sillonnent. Du costaud ! Ou pour les encore plus téméraires, on peut trouver à partir de la TransTerrebonne le fameux Réseau Underground (R.U.T.), pis se gâter dans les singletracks.
À haute vélocité sur la TT
Pour finir, le Ceci n’est pas un Club, co-organisé par la communauté MTL Gravelle et Studio Cycle Maglia Rosa, te propose des sorties du mercredi soir tout l’été. Sorties gratuites, lors desquelles la priorité sera accordée aux débutants, et qui nous amèneront entre autres vers ces deux parcours initiatiques !
Chaque mercredi, de juillet à octobre, rendez-vous à 18h devant Studio Cycle Maglia Rosa, au 6393, Avenue Papineau à Montréal. Un accompagnateur bénévole sera présent, mais chaque participant devra quand même être autonome. Des surprises et prix de participation seront aussi gracieusement distribués, en guise d’encouragement !
P.S Voir Gravelmap.com pour + d’inspiration — pis hésite pas à y ajouter tes trouvailles, y’a encore plein de potentiel d’exploration qui reste ! Vive la gravelle urbaine.
Les beautés du raboutage, en gravelle urbaine
Salut les vrais. Un blogue de Pierre Gravel.
L’auteur est passionné de vélo depuis l’enfance. Travailleur de bike shop dans sa première vie, il termine aujourd’hui des études en communication. Ce blogue reflète son opinion indépendante.
mai 19, 2021
Pour mon entrevue du jour, j’ai été à la rencontre d’un client satisfait du service chez Maglia Rosa. Peu bavard, laconique et désirant surtout rester anonyme, ce dernier a néanmoins accepté qu’on le surnomme temporairement Max Powers pour les besoins de la cause. Il a également offert quelques réponses à mes questions, non sans y ajouter son p’tit grain de sel bien à lui...
Agnès M. Croteau: Alors cher Max, merci d’avoir accepté de t’entretenir avec moi aujourd’hui. Maintenant : à la base, te décrirais-tu comme un sportif?
Max Powers: Non.
AMC: Ceux qui te connaissent savent que tu maintiens quand même une perte de poids d'au moins 60 livres depuis des années. Est -ce que tu en donnes le crédit au vélo?
MP: Oui.
AMC: ...Ok, mais encore? Qu'est-ce qui t'a mené à la pratique de ce sport en particulier?
MP: Sauver du gaz pour aller au travail. Ça coûte cher de réparer une BMW.
AMC: 10-4. Bien compris. Donc, pas particulièrement sportif à la base, tu t'es quand même rendu chez Maglia Rosa pour faire l'achat de ton premier vélo il y a quelques années de ça. Comment décrirais-tu ton expérience là-bas? Ça t'a plu?
MP: Je voulais supporter un commerce local à côté de chez nous. Service impeccable.
AMC: Tu as aussi apprécié quand ils ont offert une mise au point gratuite à ta blonde en tout début de pandémie parce qu'elle était professionnelle de la santé... Ça vaut la peine de les suivre sur les réseaux sociaux, n'est-ce pas? ;)
MP: Oui, c'était une belle initiative de leur part.
AMC: Parle-nous de ton vélo. L'aimes-tu toujours? Trouves-tu qu'il roule comme au tout premier jour? Aimerais-tu faire l'acquisition d'un autre éventuellement?
MP: Le vélo est très bien pour mes besoins. [NDLR: Norco VFR 2.] Je prévois d'acheter un vélo de route dans quelques années pour faire de plus longs trajets.
AMC: Avec ton Norco, quels sont tes plus beaux "trips" à vélo à date?
MP: Aller au Maître Glacier.
AMC: …
MP: Sérieux j'aime aller et retourner au travail.
AMC: Sinon, où souhaiterais-tu rouler à la fin de la pandémie (psst: ça peut être partout dans le monde!) ?
MP: Faire le tour des îles de la Madeleine en vélo.
AMC: Parfait, ça! Puis, un petit mot de la fin pour ceux et celles qui, comme toi, n'ont pas l'impression d'avoir de prédisposition particulière pour la pratique d'activité physique régulière?
MP: Faut faire du sport pour se permettre une bonne poutine chez Claudette après!
Tu sais quoi? Je te donne raison, cher Max. La sagesse tient en peu de mots.
Sur ce, bonne route! ;)
Chronique à vélo par Agnès CroteauProfessionnelle de la santé et journaliste à vélo
Je partage avec vous mes trouvailles de quartier, mes rencontres fortuites & les joies d'être cycliste!
mai 12, 2021
Regardez autour de vous, l’été est presque arrivé! Si vous êtes aussi fou de vélo que nous au Studio Cycle Maglia Rosa, la première idée qui vous a traversé l’esprit pour vos vacances c'est « pédaler, pédaler, pédaleeeeer! ».
Alors, ne nous jetons pas sur nos guidons tout de suite et voyons quels sont les meilleurs endroits où partir en vacances sur deux roues en couple (vous et votre vélo, bien sûr).
Vélo de montagne? En vélo de montagne, il existe des incontournables qui vous feront autant transpirer que sourire:
C’est connu, la Vallée Bras-du-Nord et le vélo de montagne sont faits pour s’entendre! Grâce à la qualité de ses sentiers, l’endroit vous offre la plus optimale des expériences en cross-country.
D’un côté, le secteur Shannahan vous immerge dans un panorama aux allures sauvages et grandioses.
De l’autre, le secteur Saint-Raymond vous propose une course champêtre à quelques coups de pédale de la ville. N’hésitez pas, bravez ces « singletracks » plantés entre deux montagnes, dans un décor que la nature a conçu pour les cyclistes avertis.
Dernier point important: la qualité des refuges de la Vallée Bras-du-Nord vaut le détour à elle seule.
Vélo de route? Si vous êtes plutôt du genre à faire chauffer le bitume, nous avons aussi pour vous quelques suggestions qui vont satisfaire votre besoin d’engloutir les kilomètres.
Comme son nom l’indique (presque), notre prochain parcours se trouve au Saguenay-Lac-Saint-Jean. La Véloroute des Bleuets, c’est un circuit cyclable de 256 kilomètres qui vous donne la possibilité de faire le tour de la région sans descendre de votre monture.
Par ailleurs, la Véloroute vous propose 3 réseaux associés totalisant 130 kilomètres de piste pour varier les plaisirs.
Si vous n’êtes toujours pas convaincu, sachez que la Véloroute des Bleuets a été Lauréat Or au Grand Prix du tourisme québécois 2014, et que des touristes du monde entier affluent au Saguenay-Lac-Saint-Jean pour profiter de cette expérience cycliste unique.
Direction l’Ontario pour découvrir le superbe parc provincial Sandbanks, et les routes qui regorgent de bonnes surprises et de paysages à contempler au ralenti, sur votre vélo.
Depuis le parc, la route 12 est votre point de départ vers un circuit dont vous vous souviendrez longtemps. Le lac Ontario, ses plages, les vignobles, la campagne… rythmeront votre journée.
Oubliez la performance quelques instants et sans y penser, vivez des instants d’exception, tout simplement.
Vous aimer la variété? Voici un parcours qui va plaire à tout le monde, avec des sentiers très différents à aborder d’une humeur curieuse.
Aménagé sur une ancienne voie ferroviaire, le sentier du Parc linéaire des Bois-Francs traverse les municipalités de Warwick, Saint-Christophe-d’Arthabaska, Victoriaville, Princeville, Plessisville et Laurierville, pour s’achever à Lyster.
Devant vous, les 77 kilomètres de piste cyclable mélangent campagne et ville pour une séance qui sort de l’ordinaire.
Faites votre choix, enfilez votre casque et… profitez de l’été sur votre fidèle vélo!
avril 15, 2021
Bien entendu, la majorité des routes de gravier au Québec se retrouve en région, à au moins une heure de route de la métropole. D’ailleurs, plusieurs d’entre-elles sont d’anciens chemin forestiers ou des routes de campagne alors que d’autres ont été construites dans le but de faire du développement touristique. Cela dit, sur un vélo de gravelle, vous avez 100% des chances de vous retrouver en forêt ou au beau milieu d’un champ.
Crédit Photo : Justin Knotzke
En effet, étant des chemins plus éloignés, la majorité des routes de graviers du Québec sont beaucoup moins fréquentées par le transit automobile que les routes asphaltées. De plus, vous améliorerez la qualité de l’air que vous respirerez et vous aurez la chance de profiter d’une plus grande quiétude et d’une sécurité accrue, du moins en ce qui a trait aux accidents impliquant des véhicules routiers.
Crédit Photo : Justin Knotzke
En vélo de gravelle ou d’aventure, on roule un peu moins vite, l’objectif est plus le trajet que la destination. De surcroit, les lieux sont là pour nous en faire profiter, car La nature luxuriante des lacs, des rivières et des montagnes nous invite au recueillement. Et pour les amants de la nature comme vous, la chance d’apprécier la grandeur et la tranquillité des lieus, ne fait qu’augmenter le sentiment de bien-être ressenti durant l’effort.
Crédit Photo : Enve Composites
En effet, notre grande proximité avec la nature, l’absence de voiture et donc de bruit donne souvent place à des rencontres extraordinaires avec les animaux du secteur. Évidemment, vous devez en tout temps respecter leur habitat et vous ne devez en aucun cas les nourrir. De plus, votre vélo peut facilement devenir le moyen le plus efficace et le moins coûteux pour votre safari photo!
Crédit Photo : Enve Composites
Effectivement, plusieurs routes de gravier ou chemins forestiers sont très bien entretenus et avec un vélo adapté, une pression adéquate des pneus et un bon positionnement, vous ne terminerez pas vos sorties plus mal en point qu’après un bon 100km de route, la tête dans le guidon.
Crédit Photo : Justin Knotzke
Pour plusieurs, pratiquer le vélo de gravelle, est une bonne façon de devenir meilleur. Vous vous demandez pourquoi? La réponse est simple : une surface meuble comme le gravier ou la terre battue demande une technique de pilotage supérieure. Vous devrez maintenir une bonne adhérence dans les montées, mieux ressentir le comportement du vélo dans les virages et augmenter votre mobilité sur le vélo dans des portions qui sont plus accidentées. De plus, rouler avec des pneus de 38c à une pression de 40psi sur une route de gravier demande un effort considérablement supérieur à un pneu de 25c ou de 28c à 90psi sur une route asphaltée pour une distance similaire. Vous augmenterez donc du même coup votre capacité à maintenir un niveau d’effort plus grand, plus longtemps.
Crédit Photo : Enve Composites
avril 02, 2021
En effet, la guidoline absorbe davantage la sueur lorsque nous nous entraînons à l’intérieur, c’est donc une très bonne idée de remplacer sa guidoline annuellement. Vous améliorerez votre prise du guidon, vous obtiendrez une meilleure absorption des chocs tout en protégeant votre guidon.
Effectivement, il est très possible qu’elles soient à remplacer. Des cales trop usées peuvent créer des douleurs aux genoux. Et, dans un cas extrême elles pourraient même vous conduire à une chute.
En effet, un cuissard de plus de 2 ans est généralement moins absorbant et il aura perdu une partie de son élasticité. Il ne vous procurera donc plus le soutien musculaire, l’absorption de la moiteur et des vibrations d’un cuissard neuf. Profitez-en donc pour essayer le cuissard à bretelle (Bib) si cela ne fait pas encore partie de votre garde-robe.
Si toutefois vous ressentez un inconfort après chacune de vos sorties de vélo, une consultation en positionnement sera prescrite. Venez rencontrer notre spécialiste en prenant un rendez-vous ICI pour un positionnement ergonomique complet.
mars 23, 2021
C’est le printemps. Les rayons de soleil chauffent enfin la forêt de tes ambitions sportives. Les oiseaux gazouillent, la neige fond et ruisselle. « L’ourcycliste » qui hibernait en toi s’éveille. Sans aucun doute, elle point à l’horizon : la meilleure saison de vélo ever !
Si, comme moi, dès lors te brûle l’envie d’enfourcher ton gravelbike dès que faire se peut, une question un peu embêtante se pose néanmoins. Comment composer avec les conditions moins que certaines qu’amène avec lui le printemps ?
Deux stratégies. D’abord : tant que les sentiers et chemins de terre sont — au mieux — détrempés, tant que subsiste le risque que sous tes roues la glace tourne inopinément à la slush et vice-versa, il peut sembler raisonnable de s’en tenir au tarmac. C’est généralement plus prudent (attention quand même aux nids-de-poule béants et aux plaques de sel oubliées). Appelons ça choisir de faire de la gravelle prudente. Il n’y a rien de mal à cela.
Alternativement, il pourrait plutôt s’agir d’adapter sa conduite et son équipement aux surfaces inégales, aux restes de bancs de neige et aux mottons de glace noircis de poussière qui parsèment les bords de pistes. De s’adapter auxdits sentiers qui sont à moitié inondés, boueux ou encroutés... Bref : à la « gnarnotte » du printemps.
Est-il possible de signifier, sans y consacrer un article complet, l’importance des pneus en gravelbike et en vélo d’aventure plus largement ? Non. Mais pour faire court : choisir les pneus appropriés est garant d’un impact maximal dans le sens de l’adaptation à ces conditions hors-normes. Tout simplement. Or, si dans un article précédent je faisais l’éloge de la souplesse, c’est pourtant une toute autre logique qui m’a guidé dans mon choix de pneus, ce printemps.
C’est la mention, par d’autres confrères évaluateurs, de l’adhérence exceptionnelle du Cinturato Gravel M (pour « Mixed terrain »), par Pirelli, qui a d’abord piqué ma curiosité. Après l’avoir testé dans une diversité de conditions, je confirme que son adhérence elle aussi hors-normes est idéale pour s’élancer dans les conditions moins que certaines de la gravelle et de la gadoue printanières (tout comme celles de l’automne tardif).
Rouler sur un Gravel M de 45mm, c’est sentir que chaque coup de pédale mord dans le mou comme un pneu de tracteur qui tracterait. C’est incliner le vélo, même sur le mou. C’est ensuite l’incliner encore un peu plus, en cherchant le point où ça décroche. C’est ne pas le trouver. C’est s’attendre, avec une telle adhérence, à ce que ça roule un peu moins vite sur la route. Avec sa bande centrale quasi continuelle, j’ai été agréablement surpris.
Ses propriétés résultent de sa forme, mais aussi de sa gomme et de sa carcasse, lesquelles participent aussi de la robustesse remarquable du pneu. Un peu comme en vélo de montagne, si l’on n’aborde pas les irrégularités de la surface et les obstacles avec souplesse et déformation, une autre manière de faire consiste à les aborder avec robustesse et aplomb ! La trace du Gravel M rappelle d’ailleurs celle des pneus de vélo de montagne de la décennie 1990.
Pour ce printemps, je le conseille chaudement aux graveleuses et aux graveleurs téméraires. Celles et ceux qui au moins envisageront de jumper les bancs de neige durcis sans trop s’en faire avec ce qui est peut-être caché en dessous. Le verdict donc est le suivant : adhérence et robustesse, idéales pour un printemps joueur et sans tracas !
L’auteur est passionné de vélo depuis l’enfance. Travailleur de bike shop dans sa première vie, il termine aujourd’hui des études en communication. Ce blogue reflète son opinion indépendante.
mars 16, 2021
Notre importante: Cet article et vidéo ont été réalisés avant la covid. Nous respectons les règles de distanciation sociale et les mesures sanitaires pour les positionnements.
Lors d'une séance d'entraînement au magasin, l'hiver dernier, j'ai dit à Yannick que je n'avais pas eu de positionnement depuis près de quatre ans, quand j'ai acheté mon vélo. C'est alors que surpris, il m'a dit que passé un certain volume de kilomètres avalé annuellement, dans mon cas, près de 5 000, c'était bon de revoir son fit chaque année. Et ce, pour une multitude de raisons: réduire, voir arrêter certaines douleurs, optimiser le confort général, améliorer les performances ou réduire les risques de blessures.
Après 4 ans sur le même moule, j'ai eu droit à une révision complète de mon fit chez @MagliaRosaVelo. Voici le résumé de mon positionnement morphologique en une minute. pic.twitter.com/8GYQhiQ3Js
— Sur deux roues (@surdeuxroues) June 30, 2020
En savoir plus sur Sur Deux Roues...
Sur Deux Roues est un blogue québécois s'adressant aux Québécois désirant en savoir plus sur le vélo de route, le fat bike, le cyclocross et le vélo urbain. Avec plus de 16 000 visiteurs uniques par mois, données vérifiées par la firme MRP data, Sur Deux Roues est un blogue très niche qui rejoint une communauté qui aime s'informer de leur sport préféré : le cyclisme.
mars 05, 2021
Dans cet article, nous allons démystifier une nouvelle catégorie de vélo de plus en plus présente dans les catalogues et dans le paysage cycliste québécois.
Si vous prévoyez faire des voyages ici ou ailleurs; partir pour la journée, pour quelques semaines, voire quelques mois; aller au boulot à vélo, cette nouveauté vous interpellera sans aucun doute.
Que vous soyez du type bitume, gravier ou encore lichen. Que vous ayez envie de rouler vite à l’occasion mais aussi de vous la couler douce à d’autres moments ou que vous ayez tout simplement le goût d’arrêter de vous poser la question et découvrir un vélo qui vous permettrait d’aller dans toutes les directions, peu importe votre humeur ou votre besoin du moment.
Ce couteau suisse à pédale – qui vous permettrait de gravir les chemins forestiers du nord du Québec, parcourir la côte ouest de Vancouver à San Diego avec votre matériel ou simplement faire un 100 km, entre amis, dans le coin de Joliette – existe!
On l’appelle tantôt, « vélo d’aventure » tantôt, « gravel bike », d’autres parle de « vélo de cyclotourisme light », le résultat reste le même : un vélo dont, les seules frontières seront celles que vous vous fixerez vous-même!
La demande des cyclistes de route a subi une mutation dans les dernières années, la majorité des pratiquants ont une vision récréative de la discipline – leur priorité est le plaisir dans l’activité sportive. On le sait, la notion de confort est partie intégrante du plaisir, à moins d’avoir des tendances masochistes (ce que nous respectons), d’où l’engouement pour le vélo de route dit d’endurance.
Puis le terme polyvalence est apparu : les gens voulant pouvoir rouler tant sur la route qu’hors des sentiers battus, avec le même vélo.
Selon votre budget, vous pouvez vous procurer un vélo d’aventure dans la majorité des matériaux connus, que ce soit l’acier ou le titane, l’aluminium ou même le carbone.
Studio Cycle Maglia Rosa offre 5 possibilités dans le domaine :
Orbea Terra H30 (Aluminium) | Salsa Vaya (Acier) | Rondo Ruut Al1 | Al2 (Aluminium) et Chapter2 AO (Carbone)
Eh oui, il est maintenant possible de se procurer un vélo d’aventure performant muni de freins à disque d’un poids inférieur à 20 livres ! On est loin de la pesanteur des vélos de touring à trois plateaux fabriqués il y a plusieurs années!
Défiant toutes les conventions régissant le style et la conception des vélos de route, le vélo d’aventure offre des possibilités qu’aucun autre vélo n’était en mesure de vous offrir jusqu’à maintenant.
Sur le plan technique, ce type de vélo partage la géométrie d’un vélo de route d’endurance, avec un poste de pilotage un peu plus relevé, des bases rallongées pour augmenter le confort ainsi qu’un centre de gravité relativement bas afin d’en accroitre la stabilité.
Aussi, le système de frein traditionnel sur jante passe au frein à disque hérité du vélo de montagne.
Pour deux raisons : la première d’ordre physique – un pneu plus large que 28mm ne passerait pas dans un étrier de frein traditionnel; la deuxième est d’ordre environnemental – la poussière plus présente dans le hors-route accélèrerait l’usure des patins de frein et de la jante.
Le disque étant moins sensible à ces éléments, il est idéal dans ces conditions et ce, en plus d’offrir, un freinage puissant et d’une très grande modulation.
Cette modification offre également la possibilité d’installer des pneus plus larges, de 28mm à 40mm, lisses ou semi-cramponnés ce qui permet un volume d’air plus élevé, rendant ainsi possible de rouler sur des surfaces irrégulières sans souffrir outre-mesure.
Pour finir la robustesse générale du vélo, est calculée pour affronter les contraintes propres à la pratique du hors-route : des roues plus robustes, des carcasses anti-déchirures pour les pneus et un cadre plus résistant aux impacts.
Pas tout à fait. La géométrie d’un cyclocross est en général beaucoup plus agressive et ne permettrait habituellement pas une conduite longue distance à l’épreuve des douleurs. Bien que certains l’utilisent également dans ce contexte, l’apparition des vélos d’aventure permet un usage beaucoup plus adapté aux longues distances.
Confusion ?
Côté matos, oubliez les porte-bagages, lourds et contraignants, dorénavant les compagnies comme Arkel, fabriquant ses sacs, ici même, au Québec ou Apidura, offrent des sacs auto-portant légers et durables, afin que vous puissiez apporter tout le matériel nécessaire aux voyages de plusieurs jours et ce, sans alourdir démesurément votre monture.
Alors, si vous avez des projets de voyage sur deux roues ou que désirez partir à l’aventure cet été, passez nous voir pour des conseils, un vélo et/ou le meilleur équipement sur le marcher pour faire de votre parcours, un succès.
Pour terminer, rappelez-vous que le voyage est toujours plus important que la destination !
Le côté le plus apprécié de cette discipline est le contact avec la nature et l’absence de traffic, un vrai grand bol d’air frais, en plus la variété dans les parcours est plus facile à obtenir.
Par contre il est moins facile de croiser des points d’eau ou de ravitaillement, il faut prévoir en conséquence. Et accès peut être difficile pour les secours en cas d’accident, donc prudence ++.
C’est une discipline en plein démarrage, le réseau de pistes reste à découvrir, le bouche à oreille est de mise pour trouver sa prochaine destination de fin de semaine, des recherches sur Strava ou RidewithGPS pourrons vous aider aussi, ou reste l’essai à l’aveuglette avec google maps.
Il existe de plus en plus d’événements avec un fort pourcentage de route de gravier, avec des conditions mettant à rude épreuve le corps humain.
Voici une mini liste, certains d’entre eux sont très loin, par contre le premier de la liste est local et très connu.
100 B7 | Battenkill | Rasputista | Grinduro
février 18, 2021
Pour la petite histoire, la rumeur veut que le nom Chebacco vienne d’une route éponyme, qui se trouve à Ipswitch, à une quinzaine de kilomètres des bureaux de Parlee Cycles. Cette route est réputée pour la très mauvaise qualité de son bitume. N’essayez pas de la trouver sur Google Street View, elle n’y apparait même pas. Pour en revenir à nos moutons, lorsque l’équipe de Parlee Cycles travaillait sur le développent d’un vélo de gravelle, ils se sont dit que l’objectif serait de faire un vélo avec lequel on peut rouler sur cette route cahoteuse.
Avec des freins à disque, un jeu de pneus large (jusqu’à 40 mm) et un cadre en fibre de carbone à 100%, ayant un moulage précis permettant de mieux absorber les vibrations, ce vélo nous a permis d’étendre les possibilités de pilotage hors route, tant sur les sentiers de quatre roues que dans les pistes de vélo de montagne.
De plus, pour l’aspect performance, le Chebacco partage le même ADN que les vélos de route Parlee tels que les modèles des séries Z et Altum. Le cadre a une géométrie et des caractéristiques de conception spécialement conçues pour la performance, notamment des haubans plus larges, un boîtier de pédalier plus bas que les vélos de cyclo-cross de style européen traditionnel et l’angle du tube de direction est un peu moins agressif. Cela donne au Chebacco une conduite douce et stable à plus grande vitesse, en particulier hors route. J’ai eu la chance de tester le vélo lors d’un ultime test de virilité avec Charles, que vous avez pu entendre sur Radio Bidon, j’ai été surpris de la facilité avec laquelle j’ai pu atteindre une bonne vitesse et garder ma puissance. Disons que le feeling était différent que ce que j’ai ressenti sur d’autres gravel bikes essayés par le passé. Personnellement, je crois de moins en moins au N+1, tant chéri par plusieurs cyclistes. Je préfère avoir un excellent vélo, bien entretenu et qui me permettra de faire tout ce que j’aime : vélo de route, cyclo-cross et gravel bike qu’avoir plusieurs vélo de qualité inférieur. Après avoir essayé le Parlee Chebacco, j’ai finalement trouvé chaussure à mon pied.février 11, 2021
Au Québec, le vélo est un sport saisonnier pour une majorité de cycliste, c’est pourquoi les ateliers sont en période de fort achalandage de Mars à Juillet. Apportez donc votre vélo rapidement ou planifiez votre rendez-vous ICI. Vous pourrez même en profiter, lors de votre visite, pour discuter avec les techniciens des différentes composantes à améliorer pour en faire bénéficier votre expérience cycliste.
février 04, 2021
Les mois viennent de passer à toute allure, les repas copieux des fêtes sont loin et la saison de vélo débutera bientôt si la température se veut clémente ! Le temps des résolutions est arrivé, vous avez bien l’intention de pulvériser vos « PR » ou de vous entraîner pour être au top de votre forme pour vos compétitions ! Mise à part suivre un plan d’entraînement quoi faire de plus ? Bien s’alimenter, bien s’hydrater, bien dormir….Prendre des suppléments de vitamines et de minéraux ? Les trois premiers points sont évidemment essentiels, quel que soit votre niveau de forme physique, pour maintenir un mode de vie sain.
Les vitamines?
Les vitamines sont des micronutriments. Le corps ne les fabrique pas donc il faut les apporter via notre alimentation. Comme le nom «micronutriment » le sous entend, le corps n’en a pas besoin d’une grande quantité, cependant ils sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Il faut savoir qu’il existe deux grands groupes de vitamines :
Donc, vous comprendrez que si vous avez une alimentation variée, en quantité correspondant à vos activités physiques, vous ne serez en manque d’aucune vitamine.
Quelles vitamines devrait-on prendre?
Au Québec, les principales carences vitaminiques constatées, sont celles en vitamine D, parce que cela prend de s’exposer les mains, les bras et le visage, 10 à 15 minutes par semaine, entre 11h le matin et 14h l’après-midi, sans crème solaire, d’avril à octobre, et ce pour un adulte en bonne santé. L’autre carence est celle en vitamine B12, car il s’agirait d’un problème d’absorption intestinale qui peut varier avec l’âge, l’usage de médicaments anti-acides et de notre génétique, en considérant que les apports quotidiens sont respectés. Beaucoup de gens aiment prendre de la vitamine C en hiver, car cela aiderait leur système immunitaire à être en pleine forme contre les vilains virus saisonniers. En respectant un apport de 500 mg à 1000 mg par jour chez l’adulte en santé, rien ne prouve que tout ira mieux, mais ça ne fait pas de mal ! Il est inutile d’en prendre plus, votre corps éliminera le surplus dans les urines ! Les gens qui prennent des suppléments de vitamine B, vont dire qu’ils se sentent moins stressés et plus en forme. Oui en effet, il est reconnu que les vitamines du groupe B peuvent nous donner un boost d’énergie. Leur usage est pour la majorité.
À qui s’adressent-elles?
Ceci dit, il y a un certain nombre de personne qui pourraient bénéficier d’une supplémentation, par ce qu’elles sont à risque de carence, même en ayant une alimentation variée et équilibrée. On parle de ceux qui ont des problèmes d’absorption intestinale (ex : personne souffrant de la maladie de Crohn non contrôlée, syndrome de malabsorption intestinale, maladie de coeliaque). On parle aussi des personnes ayant une alimentation végétalienne ou végétarienne, pour lesquelles une évaluation médicale et un suivi avec un-e nutritionniste serait idéal pour supplémenter adéquatement et éviter de dépenser inutilement pour des produits sans valeur ajoutée par rapport à une bonne alimentation. Certains médicaments peuvent limiter l’absorption de vitamines et minéraux, les femmes avec des menstruations abondantes peuvent être carencées en fer et finalement certains sports sont reconnus pour favoriser les troubles gastriques…comme la course à pied et le cyclisme.
Cela fait consensus, aucun apport vitaminique ne vous aidera à faire exploser vos performances sportives. Vous sous sentirez possiblement bien, mais vos efforts alimentaires et la constance de vos entraînements seront la clé du succès. Si vous avez des doutes que votre santé devrait nécessiter l’avis d’un professionnel de la santé, mieux vaut consulter que de vous supplémenter à l’aveugle. Cela ne vous aidera pas forcément et pourrait même retarder une prise en charge d’un problème X ou Y. Derniers points, pour ceux qui font de la compétition, n’oubliez pas que vous êtes responsables de ce que vous avalez. Certains suppléments ne font pas l’objet de contrôles de qualité (tout dépendant de leur provenance !) et pourraient vous mettre sous la loupe des instances anti-dopage! Optez pour des produits affichants un NPN (numéro de produit naturel, assurant le contrôle qualitatif et quantitatif des ingrédients).
Comme dirait ce cher Pierre-Yves Mcsween « en as-tu vraiment besoin ? ». Cela s’applique totalement à l’usage des suppléments vitaminiques !
Bonne saison!
Références
janvier 22, 2021
À quelques jours du pas pire attendu passage vers 2021, on vous propose un dernier regard en arrière sur notre excellente saison de gravelbike 2020. Partie 2 de 2 d’une rétrospective sur le concours photo lancé au début de l’été dernier par MTL Gravelle. Concours dans le cadre duquel les organisateurs ont invité tous les membres à proposer leur meilleure photo, emblématique à la fois de l’esprit du vélo d’aventure et de Montréal. Pas moins d’une trentaine de soumissions ont animé le groupe Facebook pendant quelques semaines.
Alors au programme dans ce billet de blogue: un peu plus sur les top-participants de cette édition du concours, sur leur cheminement cycliste, leurs spots préférés et/ou leur concept photo. Dans pas d’ordre particulier, c’est parti mon kiki.
Crédit photo : Sébastien Jacquet
Sébastien a fait sensation avec une photo qui frôle l’illusion d’optique! Vibe résolument urbaine avec le street art inclus, mais en plus il nous présente un vélo qui a en lui-même une twist intéressante. Êtes-vous en mesure de reconnaître le modèle?
« [Il s’agit d’un] graffiti rencontré au détour d'un viaduc de la piste cyclable entre Laval et Montréal. Le dessin m'a tout de suite fait penser à une oeuvre de Banksy! Je me suis permis de l'utiliser en y ajoutant mon vélo. L'œuvre trouve encore plus de sens quand on sait que nous étions en plein confinement du printemps pour la COVID-19... »
Pour les moins nerds d’entre-nous, la référence vient du masque que porte l’Olympien ici; un masque typique des docteurs qui combattaient jadis la peste sur le terrain!
« Enfin, je roule un Rocky Mountain RC-70 transformé [NDLR. Donc conversion Drop-bar d’un hybride performance !!!] que je roule surtout sur la gravelle des Laurentides, mais aussi parfois sur les pistes asphaltées quand il le faut! » - SJ
La scène offerte par Rahim en est une autre typiquement montréalaise… Pas nécessairement pour les bonnes raisons toutefois! Alors, dis-nous tout, Rahim:
« Je suis Rahim Kandjy, kinésiologue. Ma passion du vélo a suivi de multiples chemins, que ce soit en tant qu'activité sportive, alternative de déplacement ou, plus récemment, comme compagnon d'aventure.
J’ai dû franchir plusieurs barrières avant d’être forcé de faire demi-tour dans des températures sous la barre des zéros degrés. Heureusement que je portais 2 paires de chaussettes! Ici, j’immortalisais le moment fatidique, juste avant de rebrousser chemin. » - RK
J'ai pris cette photo lors de l’une de mes premières sorties à vélo du printemps, avant même que la saison ne débute pour bien des gens! À ce moment, j’avais peut-être les pistes cyclables presque à moi tout seul, mais… J’ai malheureusement appris « à la dur » que les écluses étaient encore fermées!
Ah! Intéressant de voir un graveliste qui roule en conditions hivernales. Il semble que la plupart de ces bikes soient amplement capables. Ça pourrait même devenir un créneau légitime bientôt… Le gravel d’hiver? À suivre ;)
Crédit photo : Julien Payette-Tessier
Julien s’invite tardivement dans la course, mais sa photo fait carrément fureur! Et pour cause, difficile de trouver plus emblématique comme endroit, comme vélo – sans compter que l’exécution est quasi-parfaite. Pourtant quand on l’a contacté pour en savoir un peu plus, on ne s’attendait vraiment pas au retournement de situation suivant:
« [...] En fait, je vais t’avouer un truc. Je ne suis pas un vrai gars de gravel! J’ai même pas de gravelbike!!! Je serais plutôt ce qu’on peut appeler « un roadie ».
Mais disons qu’avec le travail, je m’intéresse beaucoup à la culture du gravelbike. Je suis en effet photographe pis je me spécialise dans tout ce qui touche le vélo. La photo que j’ai prise ici, [sur le Mont-Royal,] était d’ailleurs pour la campagne promo du gravelbike Dark Matter, par Argon18 [qui est une marque montréalaise!]» - JPT
Crédit photo : Rémi Lapointe, en collabo. avec François R. Derbas Thibodeau
Pour finir, une autre image qui a fait couler de l’encre – ou plutôt pitonner des pitons : le phantasme du cycliste de gravelle montréalais, représenté par une photo manipulée numériquement. Une collaboration de Rémi Lapointe avec François R. Derbas Thibodeau. Le premier avait ceci à nous raconter :« Donc je suis Rémi Lapointe, directeur technique chez Moment Factory. Je pratique le vélo de gravelle, incluant du bikepacking d’exploration, et le vélo de montagne. Mon gravelbike (celui sur la photo) est un Garneau Garibaldi Prohibition, en carbone. J’aime le gravelbike parce que ça me permet d’explorer et découvrir des nouveaux spots où je n’irais pas nécessairement en temps normal.
[…] La photo a, en fait, été prise près de Bromont, vers Sutton. C’est un de mes coins préférés car il y a beaucoup de côtes, pas beaucoup de véhicules et on peut y connecter des chemins de gravelle à l’infini, sans jamais toucher l’asphalte![…] La photo, la route qui s’étend vers l’horizon et les montagnes, m’inspirait l’aventure. Le montage photoshop [par François apporte une référence montréalaise qui] nous rappelle qu’on n’a pas besoin de s’éloigner bien loin de la ville pour trouver des vastes étendues de gravelle. » - RL
L’auteur est passionné de vélo depuis l’enfance. Travailleur de bike shop dans sa première vie, il termine aujourd’hui des études en communication. Ce blogue reflète son opinion indépendante.